Un PLU du Var de plus qui rencontre des difficultés à se faire accepter.

Extrait de Var-matin du 12-06-2012

 

Pour accéder au P.V. cliquer sur le lien:     PV AG 26 11 2011

 

Pour accéder au P.V. cliquer sur le lien:    PV AG du 6 11 10

La pulvérisation ou l’endothérapie ?

Extrait de Var-matin du 16 mars 2012

Le dossier ci-après très complet proposé par Europe Écologie les Verts vous permettra d’approfondir un sujet critique pour tous les habitants de nos régions méridionales.

Pour accéder au dossier cliquer sur le lien:   Bulletin-N°2-Palmiers

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SAUVONS LA MEDITERRANEE

GRAND RASSEMBLEMENT NATIONAL POUR DIRE NON

AUX EXPLOITATIONS D’HYDROCABURES

AU LARGE DE NOS COTES


DIMANCHE 8 AVRIL 2012

PARC DE LA NAVALE A LA SEYNE/MER

11H00

Rassemblement terrestre et pique-nique citoyen

Rassemblement maritime : sortie de bateaux dans tous les ports du littoral

Avant le 11 Avril 2012, le Permis de prospection d’hydrocarbures « PERMIS RHONE-MARITIME » risque d’être renouvelé. Ce permis s’étendant sur 12.500km2 à proximité de la zone protégée de reproduction des cétacés appelée SANCTUAIRE PELAGOS et de PORT CROS, se fait par prospection sismique (ondes acoustiques) terriblement perturbateur des espèces marines et des cétacés en particulier. Le renouvellement du Permis entraine un véritable PROJET D’EXPLOITATION D’HYDROCARBURES.

Ne laissons pas créer à nos portes (moins de 30km) les conditions de catastrophes identiques à celle du Golfe du Mexique, d’autant qu’on se situe sur une zone à forte activité sismique (dernier tremblement de terre magnitude 5,6 fin Janvier 2012).

MOBILISEZ-VOUS TOUS POUR VOTRE MER

TOUS AU RASSEMBLEMENT

EXIGEONS L’ABANDON DU PERMIS « RHONE-MARITIME »

Extrait de Var-matin du  19 mars 2012

Extrait de Var-matin du 17 mars 2012

Extrait de Var-matin du 6 mars 2012

Extrait de Var-matin du 19-03-2012

Réel succès ce samedi 17 mars 2012 au Centre Maurin des Maures à Cogolin pour les défenseurs de l’environnement

L’extension de l’aérodrome de La Môle peine à décoller

Extrait de Var-matin du 12-03-2012

Depuis 2006, les gestionnaires réclament le feu vert de l’État afin de faire des travaux pour pouvoir utiliser la piste dans sa totalité. Politiques et populations voisines disent non !

Coincé entre la rivière La Môle, l’ex-route nationale reliant Hyères à Cogolin et les collines surplombant une vallée tutoyant la presqu’île du golfe de Saint-Tropez, le petit aérodrome a le look champêtre. Au point d’imaginer le coucou d’Antoine de Saint-Exupéry se présenter en bout de piste. Ce n’est, hélas, qu’un rêve.

L’auteur du Petit prince, cousin germain de l’actuel propriétaire des terrains aéronautiques*, n’a jamais pris son envol ici.

En revanche, le différend opposant actuellement les exploitants du site aux associations d’environnement ainsi qu’aux politiques du golfe est réel.

La cause ? Un dossier visant à utiliser dans sa totalité la piste – à partir du détournement du ruisseau côté est – initié en 2006, qui vient aujourd’hui d’être soumis à l’enquête publique estampillée « sécurité publique ».

Des avions plus imposants mais, selon le document, moins polluants, pourront alors atterrir et pérenniser le volet commercial. Sur ce sujet, le bât blesse. Puisque les porteurs espérés emploient pour l’heure l’aérodrome d’Hyères, dont les difficultés financières ne feraient alors que s’accroître.

La déviation d’un bras de rivière inquiète

Depuis six ans, le vent de la contestation souffle. Les critiques pleuvent. La tempête fait rage. Il faut dire que la dérivation d’un bras du cours d’eau, afin d’avoir la possibilité de réaliser un plan sécurisé dans le prolongement de la piste goudronnée, a surpris. Voire choqué. D’autant que le fameux champ destiné à absorber un éventuel atterrissage mal maîtrisé possède dans son sous-sol des nappes phréatiques alimentant pour partie en eau les habitants du golfe.

Du côté de l’aéroport, le discours se veut rassurant : « Compte tenu de la configuration géographique de la vallée, on ne pourra jamais accueillir de très gros porteurs. Nous visons simplement à répondre aux normes de sécurité. En ce qui concerne le respect de l’environnement, nous avons tout prévu. On a réalisé des études en ce sens. »,indique Pierre Fourques.

Le nouveau directeur trouve du soutien auprès de quelques riverains, des membres de l’aéro-club, de propriétaires de résidences secondaires et de certaines entreprises, notamment des domaines viticoles.

Du côté des opposants, associations environnementales, les douze maires des communes – le schéma de cohérence territoriale (Scot) interdit toute extension du périmètre actuel de l’aérodrome -, les politiques locaux, départementaux, régionaux et nationaux, à l’image de la prise de position sans équivoque du député de la circonscription, le docteur Jean-Michel Couve, on hausse le ton. Et tous s’étonnent qu’en dépit de l’absence du respect de la loi sur l’eau, des interdictions d’extension à partir du Scot mais aussi du plan local d’urbanisme de La Môle, le dossier poursuive son chemin.

Probable action en justice

Dans quelques semaines, le commissaire-enquêteur rendra son verdict. En réalité, un simple avis que le représentant de l’État n’est pas obligé de suivre.

Il est possible que la commune de La Môle saisisse le tribunal administratif de Toulon afin de savoir si la délégation de service public (DSP) attribuée en 1986 et pour vingt ans à l’aérodrome est toujours valable. Une DSP qui n’en a jamais été vraiment une. Puisqu’elle n’a jamais fait l’objet d’un appel d’offres. En effet, le seul document liant l’État à la structure aéronautique est une convention. À partir de cette dernière, le préfet d’alors avait demandé au tribunal administratif de Nice, en portant à sa connaissance plusieurs points précis, si elle avait valeur de DSP. Le tribunal a alors émis un avis favorable. Nul doute qu’une bataille juridique se profile à l’horizon.

gcresteil@varmatin.com

*L’écrivain et célèbre aviateur, cousin germain du baron, venait passer des vacances à La Môle lorsqu’il était enfant.